19/09/2012

A day at the museum and a night at the planetarium

Panique en début de semaine pour organiser un workshop en fin de la même semaine ou la routine au boulot. Envoyer des paquets d'email et finalement aller tranquillement à une réunion de travail du comité technique cinéma allemand à Berlin ce mercredi.

Rendez-vous à la Deutsche Kinemathek Museum für Film und Fernsehen de bon matin. Du beau monde, des pontes de la couleur et de l'image qui bouge en Allemagne. Je remplace mon chef pour présenter ce que l'on fait niveau gestion de la couleur avec nos dômes et autre écrans multi-displays. Et j'ai assez vite l'impression de ne pas faire partie du décor... En effet tous les vieux et pas si vieux se connaissent depuis des lustres, il faut se faire une place.

Heureusement le programme est plutôt agréable. On commence par une visite guidée du musée, suivie par un déjeuner sur la terrasse de la cafétéria du lieu. Cette partie du bâtiment héberge également une école de cinéma et les archives de la région. La terrasse surplombe Sony-Center et on est juste assez haut pour ne pas entendre les touristes.

L'après-midi commencera par une visite des archives et une présentation du travail qui est effectué, cool. On parle ici des archives cinématographiques et pas uniquement des productions locales. Mes slides dévoilés, mes explications bredouillées et le programme terminé je file.

Pour la suite l'ami Jonathan se joint à moi, direction planétarium am Insulaner proche de l'arrêt S-Priesterweg mais en fait loin de tout. Dans ce planétarium récemment modernisé - c'est à dire équipé d'un système de projection digital en très grande partie développé par mes collègues et presque moi - deux visiteurs venant du California Academy of Sciences à San Francisco vont nous parler étoiles et constellations. Voyage garanti.

Encore une fois l'impression de ne pas faire parti du décor. En effet la moyenne d'âge des spectateurs approche celle d'un elfe adolescent. On se demande même si un ou deux ne vont pas claquer pendant le show... Le monde des planétariums a sérieusement besoin d'une nouvelle vague de spectateur où c'est l'oubli pour bientôt.

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