First official day of the KUI event, a Culture and Computer
conference hosted in the Pergamon museum in Berlin. Mixed feeling about
the papers presented in contrast to the very interesting keynote given
this morning by someone from the Israel museum in Jerusalem. The speaker did talk
about their collaboration with Google Art, how to put your museum on-line
or how do you make it existing on-line without loosing visitors.
Before
the social event of the conference the possibility to have a guided
tour in the museum was offered, I took it and it was amazing. The guide
who was supposed to give a 30min talk was entertaining us for 1h30. We
were all drinking his stories, jumping from country to country, time to
time, history to mythology, mythology to politic. The highest point was
the fight depicted from a 2m piece of facade where we could see parts of
Athena and other bodies, the statues were moving and the swords flying,
take that immersive 3D cinema.
I ask the question: what is a conference without his
social event? An incomplete event. This time it took place on the top of some federal building not fat form Alexanderplatz. And after a nice diner with a
americano-franco-russian couple I left the place to join ma douce for a concert
in Eschschloraque.
Eschschloraque, a bar name easy to misspell, a surviving alternative bar in Hackescher Markt close
to the Kino Central. Comfortably installed in a sofa facing the
stage we are waiting for the musicians. Here they come, Japanese singer,
Russian piano player and a Greek guitarist. Songs in Japanese, Greek
and more. Always nice to discover the musical touch of a band.
Today I did travel in time, in space, in language... and I'm not even confused. Take that narrow minded people.
Some link:
-KUI event
-the Israel museum
-Google Art Project
-eschschloraque
23/05/2013
18/05/2013
Tour de Spreewald - jour 1
Quitter Berlin un samedi après-midi, arriver trempé à la gare après juste 22min de vélo, c'est ça aussi le printemps.
Départ quai numéro 11 de la Hauptbahnhof, ne pas se tromper car le train du quai numéro 12 est direct pour la Pologne. Pour nous ce sera en avant Cottbus, un peu avant à Lübben pour être précis, chef lieu de la verte et humide région du Spreewald. Après 20min nous passons la zone C, plus de S-Bahn, que des Bahns, et le ratio homme vache s'inverse.
Une petite heure plus loin, sur le quai, ambiance western, pas une voiture, le vent soulève la poussière, plus de pluie, un peu de vent, on va pas traîner. Il est 17h12, prochaine étape dans une petite trentaine de km à Werben.
La balade est agréable, le relief plat, les canaux droits, les arbres verts et les moustiques encore couchés. On traverse quelques villages, les tables sont de sortie, tout est prêt pour faire la fête, les grills sont chauds et les saucisses prêtent à être griller... Mais tout reste calme, pas un chat dehors, par contre beaucoup de cigogne, le temps à demi-clément a réussi à démotiver les fêtards.
Werben approche, notre pension aussi, la douche aussi et la dégustation de cornichon également. Oui ici on ne rigole avec le cornichon. J'en ai pris en entrée, résultat cinq sortes dans mon assiettes, au minimum deux échantillons par modèles, ça fait du cornichon.
Départ quai numéro 11 de la Hauptbahnhof, ne pas se tromper car le train du quai numéro 12 est direct pour la Pologne. Pour nous ce sera en avant Cottbus, un peu avant à Lübben pour être précis, chef lieu de la verte et humide région du Spreewald. Après 20min nous passons la zone C, plus de S-Bahn, que des Bahns, et le ratio homme vache s'inverse.
Une petite heure plus loin, sur le quai, ambiance western, pas une voiture, le vent soulève la poussière, plus de pluie, un peu de vent, on va pas traîner. Il est 17h12, prochaine étape dans une petite trentaine de km à Werben.
La balade est agréable, le relief plat, les canaux droits, les arbres verts et les moustiques encore couchés. On traverse quelques villages, les tables sont de sortie, tout est prêt pour faire la fête, les grills sont chauds et les saucisses prêtent à être griller... Mais tout reste calme, pas un chat dehors, par contre beaucoup de cigogne, le temps à demi-clément a réussi à démotiver les fêtards.
Werben approche, notre pension aussi, la douche aussi et la dégustation de cornichon également. Oui ici on ne rigole avec le cornichon. J'en ai pris en entrée, résultat cinq sortes dans mon assiettes, au minimum deux échantillons par modèles, ça fait du cornichon.
05/05/2013
Voir la lumière à Steglitz
Un samedi comme les autres. Glandouiller gentillement en journée et s'activer en soirée.
Commencer par Wedding et non pas commencer par un Wedding. Gouter la bière de mai à la brasserie eschenbraeu avec l'amicale franco-germano-grecque. Elle est bonne ta bière gringo.
Faire deux équipes, les bleus en U-Bahn et le vélo rouge tout seul. Traverser Berlin du Nord au Sud et se retrouver quelques km plus tard au U-Rathaus Steglitz vers 23:09. Peu de gens croisés sur mon chemin sauf quelques touristes perdus à Zoo et quelques bourrés beintôt perdus.
L'amical franco-grecque au complet, nous nous dirigeons vers l'église grecque de Steglitz. Les gens arrivent, se pressent, en petit groupe, en famille, ambiance communion ou mariage princier (il y a du monde). Notre guide, nymphe grecque de passage en teutonie - que nous appelerons Daphnée car certaine s'appelle ainsi - nous distribue a chacun une bougie. Nous sommes fin prêt pour la Pâques orthodoxe raison de notre présence en ces lieux.
La rue est blindée, on ne peut plus avancer, le silence se fait. Minuit approche. Le prête sort de l'église, s'élève devant la foule, juste le vent dans les arbres vient perturber le calme, les chants commencent. Puis la lumière sort de l'église, une vague se répend dans la foule allumant toutes les bougies, les ténèbres sont repoussés, les gens peuvent ramener la lumière chez eux.
La rue se vide. Les voitures partent, souvent avec une bougie allumée dans la main d'un passager. A l'entrée du U-Bahn les gentils contrôleurs demandent d'éteindre nos torches, la descente dans les ténèbres peut débuter...
Commencer par Wedding et non pas commencer par un Wedding. Gouter la bière de mai à la brasserie eschenbraeu avec l'amicale franco-germano-grecque. Elle est bonne ta bière gringo.
Faire deux équipes, les bleus en U-Bahn et le vélo rouge tout seul. Traverser Berlin du Nord au Sud et se retrouver quelques km plus tard au U-Rathaus Steglitz vers 23:09. Peu de gens croisés sur mon chemin sauf quelques touristes perdus à Zoo et quelques bourrés beintôt perdus.
L'amical franco-grecque au complet, nous nous dirigeons vers l'église grecque de Steglitz. Les gens arrivent, se pressent, en petit groupe, en famille, ambiance communion ou mariage princier (il y a du monde). Notre guide, nymphe grecque de passage en teutonie - que nous appelerons Daphnée car certaine s'appelle ainsi - nous distribue a chacun une bougie. Nous sommes fin prêt pour la Pâques orthodoxe raison de notre présence en ces lieux.
La rue est blindée, on ne peut plus avancer, le silence se fait. Minuit approche. Le prête sort de l'église, s'élève devant la foule, juste le vent dans les arbres vient perturber le calme, les chants commencent. Puis la lumière sort de l'église, une vague se répend dans la foule allumant toutes les bougies, les ténèbres sont repoussés, les gens peuvent ramener la lumière chez eux.
La rue se vide. Les voitures partent, souvent avec une bougie allumée dans la main d'un passager. A l'entrée du U-Bahn les gentils contrôleurs demandent d'éteindre nos torches, la descente dans les ténèbres peut débuter...
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