Arrivée en provenance de SF, bien fatigué et dans le sens opposé à ce qu'aurait choisi un Kerouac en son temps.
On m'avait prévenu, c'est plat et au loin un mur de montagne qui se perd à l'horizon. Une grosse claque dans le visage, grand espace me voilà.
Peu de neige, même pas du tout. Mais dès l'arrivée à l'aéroport des murmures de tempête de neige devant arrivée sous peu. Je récupère le bus pour l’hôtel, en chemin les murmures se font plus fréquents et une fois dans ma chambre les premiers flocons arrivent. Ça n'arrêtera pas pendant presque 24h.
Des maisons à perte de vue et trois hôtels qui n'ont rien à envier au centre ville de Boede en Norvège: à savoir trois bloques de béton prêts à résister au vent et autres agressions climatiques. Ayant un peu de temps je fais un saut au centre commercial tu coin, arrive devant Wall-Mart, prend peur et rebrousse chemin. Pour l'analogie allez faire un tour à l'Intermarché de Joigny, juste la taille du magasin et des gens changent.
Je n'ai pas croisé un seul dinosaure.
2 commentaires:
Bon, ca n'a pas l'air vraiment funky le Denver de derriere les fagots. Comme quoi la litterature c'est du gros bourrage de crane.
je m'inscris en faux.
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