Not the most coherent weekend this one. Maybe due to the short week I had? Just to say it's difficult to find an angle to write these few lines. I choose the imaged option, one paragraph per vision.
Vendredi autour de midi, l'écran cylindrique géant est réquisitionné par les losers. C'est à dire les collègues voulant regarder le mariage princier en direct. De mon bureau je vois passer par grappes de la secrétaire, du département PR et même des étudiants en informatique. Il y a des guillotines qui se perdent. Seul truc amusant est de voir des gens dans des étages de l'institut qu'ils n'avaient encore jamais vu, marchant à petits pas rapides vers le labo. Deux projecteurs, un ordi, un écran de 4m sur 2m et vous êtes le roi du monde.
Friday around noon, at work, the cylindrical screen is requisitioned by the losers. Some of my colleagues do want to watch the wedding in live. From my office I can see people walking fast, by small steps, going toward the graphic lab, secretaries, PR people and even some students. There are guillotines that are lost. Only funny thing is to observe some people visiting part of the institute for the first time to be able to watch tv. Two projectors, one big curved screen of 2x4m, one computer and you are the master of the world.
Vendredi soir, tard, chez une Diana, à regarder Biutiful projeté sur un mur de son salon. Un verre de proseco dans la main, calé dans un canapé confortable, c'est parti. Plutôt noir et déprimant comme film, la caméra à l'épaule ou tout comme, glauque donc, mais en même temps très coloré. Le côté légèrement flou aidant à gommer les détails des bas fonds de Barcelone. Mouais. On est content quand ça s'arrête car on avait compris que ça ne finirai pas bien. La soirée continue et il s'en suit une bataille de trailers et autres vidéos, subtile alternance entre mix ibizien et live des Doors. La bouteille finie, il est tard, je rentre, heureusement j'habite pas loin. Ça mène à quelque-chose les projections privées parfois?
Friday night, late, at Diana's place, for watching a movie, Biutiful projected on a wall of her living-room. A glass of proseco in one hand, comfortably installed on the sofa, the film can start. Pretty dark movie and depressing as well, camera hold on the shoulder, glaucous for sure, but in the same time very colorful images. The often slightly un-sharpened images erases the details revealing the poor side of Barcelona (where were we thought the movie is taking place). So so. We are happy when the movie finally ended because it was clear since the beginning that the happy end wasn't in the menu of the story. The night continue by a trailer and video-clips battle, a subtle alternation between ibizian mix and live from the doors. Bottle empty, it's late, I'm going home, hopefully I'm not far. Do private projection lead to something sometimes?
Samedi à lire au soleil sur mon balcon un livre qui s'annonce bien: chromophobia. Ciel bleu, parasol jaune et couverture du livre rose. Puis c'est tango. Deux semaines sans danser et j'oublie tout, bordel... Heureusement dans les 5 dernières minutes ça revient et nous arrivons Inez et moi à faire quelques pas à base de jambes qui se croisent pour elle et de déplacement en diagonal pour moi. On a bien galéré, mais les trois dernières minutes nous apportent quelques satisfactions, à savoir un sourire et à envisager la milonga :-)
Lovelite la nuit. Des pandas aux platines. Pas aussi bien (c'est relatif) qu'en septembre dernier. Tard mais pas trop, assez de sms envoyés en état tispyiesque, je rentre.
Dimanche après-midi, étrange ambiance, déjà un jour férié un dimanche, dans le quartier les colonnes de voiture de police attendent patiemment le 1er mai pour le rendez-vous annuel sur la Boxagenerplatz. Et enfin cet hélicoptère qui tourne au dessus de Berlin pour surveiller, pas le même son qu'une cigale.
Lovelite la nuit. Des pandas aux platines. Pas aussi bien (c'est relatif) qu'en septembre dernier. Tard mais pas trop, assez de sms envoyés en état tispyiesque, je rentre.
Dimanche après-midi, étrange ambiance, déjà un jour férié un dimanche, dans le quartier les colonnes de voiture de police attendent patiemment le 1er mai pour le rendez-vous annuel sur la Boxagenerplatz. Et enfin cet hélicoptère qui tourne au dessus de Berlin pour surveiller, pas le même son qu'une cigale.
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